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Artiste fait des projets et construit des installations permanentes ou in situ, adaptées aux lieux spécifiques.
Les œuvres de Wela: installations, dessins, peintures, sculptures sont aussi à vendre.
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Entreprises, Professions libérales
Achetez une œuvre d'art 100 % déductible de vos impôts
DEFISCALISATION (Sociétés libérales et sociétés soumis a IS):
Bénéficiez de déductions fiscales pour l’achat d une oeuvre d art.
Aux termes de l'article
238bis AB du Code Général des Impôts, les entreprises qui achètent des œuvres d'artistes
vivants bénéficient de dispositions fiscales avantageuses.
Pour les œuvres dont le
prix d'acquisition est inférieur à 5000 € hors taxes, les entreprises et professions
libérales peuvent déduire le prix d'achat du résultat de l'exercice d'acquisition
et des 4 années suivantes par fractions égales. Ce bénéfice est accordé à la condition
que les œuvres soient exposées à titre gratuit dans un lieu "accessible au public,
aux clients et/ou aux salariés de l'entreprise, à l'exclusion des bureaux personnels".
Constituez
vous une collection d'art contemporain, embellissez vos salles d'attentes et halls
et faîtes des économies sur vos impôts !
L'Art au sein de votre société est un moyen
d'affirmer vos valeurs et votre identité, offrant une capacité de discours nouveau
à
tous vos collaborateurs en contact avec les clients. Vous partagerez avec vos fournisseurs,
partenaires
et clients un plaisir commun, permettant d'établir une relation plus humaine, porteuse
d'intimité et de confiance.
Votre démarche de mécénat s'avérera être autant un outil
de management et de communication interne qu'un tremplin favorable à l'image de l'entreprise.
5
raisons incontournables pour faire de l'Art, votre premier outil de DEFISCALISATION
:
RAISON 1
L'achat d'oeuvres originales d'artistes vivants est admis en Déduction du
Résultat Imposable de votre entreprise à hauteur de 0,5% du chiffre d'Affaire :
Article
238 bis AB du Code Général des Impôt
Voir bas de page pour texte intégral.
RAISON 2
L'obligation
d'exposition au public est limitée à la durée de l'amortissement du bien soit : 5
ans.
RAISON 3
Les oeuvres originales d'artistes vivants sont exclues de l'assiette
de la Taxe Professionnelle.
RAISON 4
L'Art est le miroir de votre entreprise et de
vos valeurs.
RAISON 5
Les oeuvres d'art ne sont pas assujetties à l'impôt de Solidarité
sur la Fortune (ISF). Elles ne sont pas mentionnées dans la déclaration de l'ISF,
le montant de leur acquisition n'est donc pas imposable.
Voir bas de page pour texte
intégral
ARTICLE 238 AB CGI:
Article 238 bis (Loi n° 2003-1311 du 30 décembre 2003 art. 15
I, art. 16 finances pour 2004 Journal Officiel du 31 décembre 2003)
Article 238 bis
AB en vigueur - Édition du 1er janvier 2006. Modifié par Loi 2005-1720 2005-12-30
art. 70 Finances rectificative pour 2005 JORF 31 décembre 2005.
Les entreprises qui
achètent, à compter du 1er janvier 2002, des oeuvres originales d'artistes vivants
et les inscrivent à un compte d'actif immobilisé peuvent déduire du résultat de l'exercice
d'acquisition et des quatre années suivantes, par fractions égales, une somme égale
au prix d'acquisition.
La déduction ainsi effectuée au titre de chaque exercice ne
peut excéder la limite mentionnée au premier alinéa du I de l'article 238 bis, minorée
du total des versements mentionnés au même article.
Pour bénéficier de la déduction
prévue au premier alinéa, l'entreprise doit exposer dans un lieu accessible au public
ou aux salariés, à l'exception de leurs bureaux, le bien qu'elle a acquis pour la
période correspondant à l'exercice d'acquisition et aux quatre années suivantes.
Sont
également admises en déduction dans les conditions prévues au premier alinéa les
sommes correspondant au prix d'acquisition d'instruments de musique. Pour bénéficier
de la déduction, l'entreprise doit s'engager à prêter ces instruments à titre gratuit
aux artistes interprètes qui en font la demande, l'entreprise doit inscrire à un
compte de réserve spéciale au passif du bilan une somme égale à la déduction opérée
en application du premier alinéa. Cette somme est réintégrée au résultat imposable
en cas de changement d'affectation ou de cession de l'oeuvre ou de l'instrument ou
de prélèvement sur le compte de réserve.
L'entreprise peut constituer une provision
pour dépréciation lorsque la dépréciation de l'oeuvre excède le montant des déductions
déjà opérées au titre des premiers à quatrièmes alinéas.
Concernant les acquisitions
d'œuvres d'art : L'article 238 bis AB du code général des impôts précise que les
sociétés peuvent déduire de leur résultat imposable de coût d'acquisition d'oeuvres
originales d'artistes vivants inscrites à l'actif immobilisé à condition qu'elles
restent exposées au public.
Cette déduction s'effectue par fractions égales sur les
résultats de l'exercice d'acquisition et les quatres années suivantes pour les oeuvres
achetées à compter du premier janvier 2002 (ou des neuf ou dix-neuf années suivantes
pour les autres oeuvres suivant qu'elles ont été acquises à compter du premier janvier
1994 ou avant cette date).
La déduction effectuée au titre de chaque exercice, inscrite
à un compte de réserve spéciale, ne peut excéder la limite de 5 pour mille du chiffre
d'affaires, minorée du total des autres déductions opérées au titre de mécénat.
Une
entreprise qui investit dans l'art et expose ses acquisitions peut effectuer des
déductions fiscales sur le résultat de l'exercice d'acquisition et sur les quatre
années suivantes.
Les professionnels qui ont acheté des oeuvres originales d'artistes
vivants et les ont inscrits à un compte d'actif immobilisé, peuvent déduire du résultat
de l'année d'acquisition et des 4 années suivantes par fractions égales, une somme
égale au prix d'acquisition dans la limite de 5 pour mille de son chiffre d'affaires
HT.
En contre partie de cette déduction fiscale, l'entreprise doit présenter sur 5
ans les oeuvres acquises au public.
Pour les oeuvres dont le prix d'acquisition est
inférieur à 5000 € HT, le Ministre délégué au Budget admet que la condition d'exposition
au public soit satisfaite dès lorsque l'oeuvre est exposée dans un lieu "accessible
aux clients et/ou aux salariés de l'entreprise, à l'exclusion des bureaux personnels
».
L'article 238 bis AB du C.G.I. issu de l'article 7 de la loi du 23 Juillet 1987
prévoit que les entreprises faisant l'acquisition d'oeuvres originales d'artistes
vivants, peuvent déduire une somme égale au prix d'acquisition des oeuvres concernées.
Ce
régime concerne les sociétés soumises, de plein droit ou sur option, à l'impôt sur
les sociétés dans les conditions de droit commun ainsi que celles qui relèvent du
régime fiscal des sociétés de personnes ainsi qu'au régime des sociétés d'exercice
libéral, quelle que soit la nature de l'activité exercée.
Dans le cas d'achat d'oeuvres
d'artistes vivants l'objectif n'étant pas d'enrichir les collections publiques, mais
de favoriser la création contemporaine, l'entreprise reste propriétaire de l'oeuvre.
Cette
déduction qui est pratiquée par fractions égales pendant cinq ans au titre de l'exercice
d'acquisition et des quatre années suivantes ne peut excéder au titre de chaque exercice
la limite de 5 pour mille du chiffre d'affaires, minorée du total des déductions
mentionnées à l'article 238 bis AA du CGI et doit être affectée à un compte de réserve
spéciale figurant au passif du bilan.
En cas de changement d'affectation ou de cession
de l'oeuvre ou de prélèvement sur le compte de réserve, les déductions pratiquées
sont immédiatement réintégrées.
La décision de pratiquer cette déduction relève de
la gestion de l'entreprise et n'est subordonnée à aucune autorisation préalable de
l'administration.
L'oeuvre est enregistrée en immobilisation. Une réserve correspondant
aux déductions effectuées crée au passif du bilan est réintégrable aux bénéfices
imposables si l'oeuvre cesse d'être exposée au public ou est cédée.
Dans le cas de
cession, les excédents éventuels sur le prix d'acquisition seront assujettis aux
régimes des plus-values professionnelles, et bénéficieront pour les cessions au-delà
de deux ans de l'imposition à taux réduit.
La cession de l'oeuvre d'art acquise dans
ce cas par une entreprise est soumise à la TVA à taux réduit. L'article 7 de la loi
du 23 Juillet 1987 prévoit également la possibilité de créer une provision pour la
dépréciation de l'oeuvre dans le cas où la dépréciation constatée excéderait les
déductions déjà opérées.
Oeuvres d 'Art et I.S.F
Oeuvres d'art et impôt de solidarité
sur la fortune :
Pour toute personne assujettie au paiement de l'impôt de solidarité
sur la fortune, les œuvres d'art sont exonérées à l'ISF.
Selon l'article 8551 du code
général des impôts : les œuvres d'art, de collection et d'antiquité ne sont pas assujettis
à l'impôt de solidarité sur la fortune.
A ce titre, ces biens ne sont pas déclarables
(ils ne sont pas mentionnés dans la déclaration d'ISF) et ne sont pas imposables
(les sommes consacrées à leur acquisition sont exonérées d'ISF).
L'œuvre d'art ou
de collection peut ainsi permettre à son propriétaire de ne pas franchir la barre
fatidique des 770 000 euros qui l'obligent à déclarer l'ensemble de son patrimoine.
Seuls
les bijoux et le mobilier ordinaire sont taxés à cet impôt.
Les œuvres d'art
Sont exonérés
de l'ISF :
* Les tapis et tapisseries : pièces entièrement tissées à la main, sur
métier de haute ou de basse lisse ou exécutées à l'aiguille sur canevas.
* les tableaux,
peintures et dessins faits entièrement à la main, ancien ou contemporain. Ils peuvent
être réalisés sur tout support et en toute matière (exemples : peintures à l'huile,
peintures à la cire, peintures à l'oeuf, aquarelles, gouaches, pastels, miniatures,
enluminures, dessins au crayon ou à la plume, etc., ).
* les gravures, estampes et
lithographies originales anciennes ou modernes, qui ont été tirées en nombre limité
directement, en noir ou en couleurs, d'une ou plusieurs planches entièrement exécutées
à la main par l'artiste, quelle que soit la technique ou la matière employée. Les
gravures peuvent être en taille-douce, au burin, à la pointe sèche, à l'eau forte,
au pointillé, etc...
* Les statues et sculptures originales, anciennes ou modernes,
en toutes matières exécutées de la main de l'artiste. Lorsque l'artiste réalise des
modèles (maquette, projet, modèle plâtre) destinés soit à être durcis au feu, soit
à être reproduits en matières dures, soit à confectionner des moules pour la fonte
de métal ou d'autres matières, ces maquettes, projets, modèles plâtre sont réputés
également oeuvres d'art originales. Sont également considérées comme oeuvres d'art
originales, les fontes des sculptures exécutées à partir d'un moulage de la première
oeuvre, sous réserve que leur tirage ait été limité quant au nombre et contrôlé par
l'artiste ou ses ayants droits. (8 exemplaires plus 4 épreuve d'artistes).
* les céramiques
s'il s'agit d'exemplaires uniques entièrement exécutés par la main de l'artiste et
signés par lui, à l'exclusion des articles manufacturés, même s'ils sont décorés
et signés par l'artiste. L'artiste doit exécuter personnellement les opérations successives
nécessaires à la confection de l'objet (mise en forme, cuisson, décoration).
* Les
émaux sur cuivre entièrement exécutés de la main de l'artiste et comportant sa signature.
*
Les photographies si elles sont tirées par le photographe ou sous son contrôle, signées
et numérotées dans la limite de trente exemplaires, tous formats et supports confondu
Nous
réalisons gratuitement à partir des photos des espaces que vous souhaitez aménager,
des montages et simulations des oeuvres d'art dans leur futur environnement. Ces
"accrochages virtuels" vous permettent de mieux appréhender l'impact de l'art dans
votre société.